A un certain point de notre voyage, il a fallu quitter notre doux cocon de Portland pour rejoindre San Francisco.
Pour ce faire, nous avons longé la côte californienne à bord d'une voiture toute pourrie tout confort, en prenant notre temps et en s'arrêtant quand on en avait envie...
...dans de petites villes aux airs abandonnés mais aux coquettes maisons...
...devant des murs aux graffitis... étranges...
...sous des cieux photogéniques...
...au milieu des "plus grands arbres du monde" ...
...au bord de l'océan Pacifique...
... au Tattoo Museum de Fort Bragg, où l'adorable Madame Chinchilla nous a reçus comme des rois et fait visiter son incroyable studio de tatouage, et où Julius s'est bien amusé...
...devant un gros bout de bois...
...ou au bord d'un banc gravé aux initiales de plein d'amoureux!
On s'est sentis comme dans un film au milieu de ces paysages de fou, les cheveux au vent (quand on ouvrait la fenêtre) et la route à perte de vue.
Minuscules au pied des arbres immenses, fragiles au bord des falaises et devant l'océan, reconnaissants devant cette dame de presque 70 ans qui nous a accueillis à bras (tatoués) ouverts sans rien nous demander en retour.
La côte californienne, de loin, ça sonnait comme un rêve, ça y ressemblait et, en réalité, ça en avait même le goût.
On s'est sentis comme dans un film au milieu de ces paysages de fou, les cheveux au vent (quand on ouvrait la fenêtre) et la route à perte de vue.
Minuscules au pied des arbres immenses, fragiles au bord des falaises et devant l'océan, reconnaissants devant cette dame de presque 70 ans qui nous a accueillis à bras (tatoués) ouverts sans rien nous demander en retour.
La côte californienne, de loin, ça sonnait comme un rêve, ça y ressemblait et, en réalité, ça en avait même le goût.
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